- Accueil
- Préface
- Année européenne pour le développement
- La COP21 et l’Accord de Paris
- I. L’aide publique au développement du luxembourg en 2015
- II. La coopération avec les principaux pays partenaires
- III. La coopération régionale et avec d’autres pays
- IV. La coopération multilatérale
- V. Union européenne
- VI. La coopération avec les organisations non gouvernementales de développement
- VII. L’action humanitaire
- VIII. L’appui aux programmes
- IX. La sensibilisation et l’éducation au développement
- X. La finance inclusive
- XI. L’évaluation
- XII. Rapport sur l’état des travaux du Comité interministériel pour la coopération au développement
- ANNEXES
I. L’aide publique au développement du luxembourg en 2015
Burkina Faso - Apprentissage en soudure
Ventilation de l’APD par secteurs d’intervention en 2015
Le tableau suivant renseigne sur la ventilation sectorielle de l’ensemble des dépenses d’APD du Luxembourg en 2015.
En 2015, la Coopération luxembourgeoise a continué de se concentrer sur les secteurs regroupés dans la catégorie des infrastructures et services sociaux, qui représentent 37,42 % de l’ensemble de l’aide (et 44,66 % de l’aide bilatérale). À l’intérieur de cette catégorie, l’éducation et la santé (16,53 %, respectivement 11,71 % de l’aide bilatérale) demeurent les principaux secteurs de la coopération luxembourgeoise.
La catégorie des infrastructures et services économiques a représenté 4,54 % de l’aide (5,96 % de l’aide bilatérale), la principale sous-catégorie demeurant celle des investissements dans le secteur des banques et services financiers (5 % de l’aide bilatérale).
La catégorie des secteurs de production a représenté 4,87 % de l’APD en 2015 (6,41 % de l’aide bilatérale), l’essentiel étant dédié au secteur de l’agriculture, de la sylviculture et de la pêche.
Les appuis à destination plurisectorielle ou transversale ont représenté 4,37 % de l’APD (5,50 % de l’aide bilatérale).
Notons finalement que dans le cadre de l’APD multilatérale, une grande partie des investissements (80,46 %) ne peut pas être affectée à un secteur précis. Ceci s’explique par la nature même de l’aide multilatérale, constituée des contributions directes, obligatoires ou volontaires au budget général des agences multilatérales.
