Niger - Ecole de maraîchage à Tessa, région de Dosso
Le tableau suivant renseigne sur la ventilation sectorielle de l’ensemble des dépenses d’APD du Luxembourg en 2013.
En 2013, la Coopération luxembourgeoise a continué de se concentrer sur les secteurs regroupés dans la catégorie des infrastructures et services sociaux, qui représentent 35,37 % de l’ensemble de l’aide (et plus de 80 % de l’aide bilatérale, à savoir 81,50 %). À l’intérieur de cette catégorie, l’éducation et la santé (15,60 %, respectivement 15,34 %, de l’aide bilatérale) demeurent les principaux secteurs de la coopération luxembourgeoise, suivis du soutien à la bonne gouvernance et à la société civile (6,34 %).
La catégorie des infrastructures et services économiques a représenté 6,17 % de l’aide (8,63 % de l’aide bilatérale), la principale sous-catégorie demeurant celle des investissements dans le secteur des banques et services financiers (6,71 % de l’aide bilatérale).
La catégorie des secteurs de production a représenté 4,59 % de l’APD en 2013 (5,75 % de l’aide bilatérale), l’essentiel étant dédié au secteur de l’agriculture, de la sylviculture et de la pêche.
Les appuis à destination plurisectorielle ou transversale ont représenté 5,01 % de l’APD (12,60 % de l’aide bilatérale).
Notons finalement que dans le cadre de l’APD multilatérale, une grande partie des investissements (82,01 %) ne peut pas être affectée à un secteur précis. Ceci s’explique par la nature même de l’aide multilatérale qui consiste en des contributions directes, obligatoires ou volontaires, au budget général des agences multilatérales.