L’école d’hôtellerie et de tourisme à Praia
Équipement de néonatologie
Vente de produits alimentaires par un GIE (Groupement d’intérêt économique) de femmes
Utilisation d’une plateforme multifonctionnelle pour produire de l’électricité et recharger des piles ou des GSM
Appui au programme « Women and Climate change » mis en œuvre par UN Femmes
Production d’artisanat près de Hanoi (appuyé par un microprojet)
Plans du futur hopital de Bolikhamxay
Formation de sages-femmes dans le cadre de l’appui à UNFPA
Poste de santé dans la région de Matagalpa
Centre de formation professionnelle de Matagalpa, section hôtellerie et tourisme
Ecole El Jicaro, Municipalité de Sesori (San Miguel)
Unité de santé de la Municipalité de San Jorge (San Miguel)
Vente de produits d’un groupement de femmes à Saint-Louis au nord du Sénégal
Formation des villageois à l’hygiène dans le cadre d’un projet hydraulique dans la région de Thiès
État d’un centre de formation professionnelle avant sa rénovation par la Coopération luxembourgeoise
Villageois de la région de Dosso
Salon de coiffure dans un établissement de formation professionnelle dans la banlieue de Bamako
Maraîchage dans un quartier périphérique de Bamako
La mise en œuvre de l’agenda de l’efficacité de l’aide se traduit aussi bien par l’alignement des programmes de la coopération au développement sur les stratégies nationales des pays partenaires que par l’appropriation des programmes par ces pays. Dans ce contexte, les canaux d’acheminement de l’aide luxembourgeoise ont évidemment évolué en conséquence. L’appui budgétaire sectoriel au Cap Vert et la contribution au Fonds commun du Programme « Communautés solidaires » au Salvador ont déjà été mentionnés. Dans le même ordre d’idées, le Luxembourg contribue au Fonds Commun pour la Santé (FONSALUD) au Nicaragua, qui est géré par le ministère de la Santé et vise l’extension et le renforcement des services de santé sur tout le territoire nicaraguayen.
L’alignement et l’utilisation des systèmes nationaux des pays partenaires présentent cependant un certain nombre de défis et présupposent souvent d’importantes réformes dans le domaine de la gestion des finances publiques de ces pays afin de garantir la transparence et l’opérationnalité nécessaire. De plus, le degré de maturité diffère souvent d’un secteur à l’autre à l’intérieur d’un même pays.
Au Burkina Faso par exemple, le Programme de Développement du Secteur de l’Éducation de Base (PDSEB) dispose d’une expérience avisée en matière de mécanismes de financements conjoints. Dans le cadre de la prolongation du PIC luxembourgeois et compte tenu du retrait de la coopération néerlandaise du Burkina, il a donc été retenu, lors de la Commission de Partenariat de 2012, que le Luxembourg ferait deux contributions annuelles de 7,5 millions d’euros au Compte d’affectation spécial du trésor (CAST) burkinabé en 2014 et 2015. D’autres secteurs sont cependant moins bien structurés et certains ministères techniques demandent parfois eux-mêmes de pouvoir utiliser les procédures des bailleurs pour éviter les longs délais légaux et les complications des procédures nationales, surtout celles concernant les appels d’offres.